Le journal du sexe

Inutile de jouer les Sainte-Nitouche… Faire l’amour, depuis Adam et sa nana, constitue une des principales pré-occupations des êtres humains.

 

 

Le faire bien ou avec les attributs nécessaires facilitent certainement l’entrée en matière mais pour ma part, il me parait indispensable d’éprouver en plus de toutes ces potentialités un coup de cœur – pour le moins et au mieux – de la passion.

Sinon il ne s’agit pas d’ivresse mais de griserie, ni d'échange mais de performance...

 

 Pire : ce serait un divertissement sans exaltation… Juste un ersatz...

Alors au risque d’en décevoir quelques uns, je placerai ensuite mes confidences dans un carré blanc.

 

 J’écrirai la suite à l’encre sympathique et les prochaines lignes se révèleront invisibles. Car ce que je partage avec mon amoureux ne regarde que nous, na !

 

Cela étant clairement expliqué, et pour ajouter de l’eau à votre moulin, messieurs, j’ajoute une information scientifique à vos discours, la conclusion d’une méta-analyse conduite par une équipe américaine et publiée dans le Jama, le journal de l’association des médecins US (et divulguée en France dans les pages Santé de L’Express).*

 

 

Ainsi il paraîtrait que pratiquer une activité sexuelle de façon épisodique serait mauvais pour le cœur ; en revanche, pratiquer cette activité de façon fréquente aiderait à préserver son palpitant.

 

Quand je vous vantais l’importance de parler d’amour ! Je n’étais pas loin de la vérité, non ?

 

Dans ce domaine comme dans beaucoup d’autres, pour mesurer son endurance, son enthousiasme, tenir la distance, il s’agit bien de laisser exprimer son… cœur.

 

 

Mar 7 fév 2012 Aucun commentaire