Le journal du sexe
Le Point révèle que Nicolas Sarkozy, l’ex président de la République française avait mis en garde Dominique Strauss Kahn contre les dangers auxquels il s’exposait à cause de son rapport aux femmes et au sexe, lors de sa nomination à la tête du FMI
Nicolas Sarkozy connaissait la vie sulfureuse de DSK
Le Point révèle que le cabinet de Nicolas Sarkozy savait que Dominique Strauss Kahn fréquentait des clubs libertins et échangistes comme Les Chandelles ou
l’Overside.
L’hiver 2006-2007, Nicolas Sarkozy aurait ri gorge déployée sans pouvoir s’arrêter en apprenant que DSK avait été retrouvé par un officier de police dans une voiture, au bois de Boulogne.
Pourtant, le président de la République a soutenu la candidature de Dominique Strauss Kahn à la tête du FMI, où il a été élu, le 28 septembre
2007.
Nicolas Sarkozy l’avait mis en garde
Le Point rapporte que l’entourage de Dominique Strauss Kahn connaissait le rapport de DSK aux femmes et au sexe, son libertinage.
lui aurait-il glissé pour se faire « transpercer » par un regard « furieux ».
Nicolas Sarkozy aurait été un des rares à aborder franchement la question avec Dominique Strauss Kahn. Il aurait choisi tout d’abord de protéger sa réputation et aurait renouvelé des consignes de silence à Claude Guéant, Gardère, et à Michel Gaidin, le nouveau préfet de police de Paris.
« Il va sans doute avoir le FMI. On garde ça pour nous, hein ? »
aurait-il demandé, rapporte Le Point. Mais à côté de cela, il aurait mis en garde DSK, sur un ton complice.
« Dominique toi et moi, on ne nous aime pas. On est pareils…on est des métèques, on aime le fric et les femmes. Les métèques et le fric, aux Etats-Unis, ce n’est pas un problème. Mais les femmes, ce n’est pas pareil. Je te préviens : fais attention avec les femmes. Tu connais les Américains, ils ne plaisantent pas. »
Sur le pas de la porte il aurait insisté, inquiet :
« N’oublie pas ce que je t’ai dit, hein, Dominique. N’oublie pas. »

Mais peu de gens auraient osé aborder le sujet avec l’ex-patron du FMI, de peur de le heurter et de se faire mal voir.
Alain Bauer, un criminologue, très bon connaisseur des Etats-Unis aurait déjà tenté avec complicité de mettre en garde Dominique Strauss Kahn.
« Fais attention à ta braguette »
